dimanche 6 juin 2010
Philippe II de Bourgogne dit Philippe le Hardi (1342 - 1404), est le fils du roi Jean II de France, dit Jean le Bon, et de Bonne de Luxembourg. Né à Pontoise le 17 janvier 1342, il fut duc de Bourgogne, comte de Flandre et d'Artois, comte palatin de Bourgogne, comte de Nevers, de Rethel, d'Étampes, de Gien, de Charolais, seigneur de Salins et de Malines. Longtemps appelé Philippe sans terre[2] parce qu'il était le dernier des quatre fils du roi Jean, il est fait duc de Touraine en 1360[3]. Il est nommé Philippe le Hardi par la bouche du roi d'Angleterre pour trois actes qu'il fait[4], le plus célèbre étant son valeureux comportement au côté de son père à la bataille de Poitiers en 1356. Son père lui donne le duché de Bourgogne en apanage en 1363. Il épouse à Gand en juin 1369[5] Marguerite III de Flandre, riche héritière présomptive des comtés de Flandre, d'Artois, de Rethel, de Nevers et du comté de Bourgogne et veuve[6] du précédent duc de Bourgogne Philippe Ier de Bourgogne décédé sans descendance à l'âge de 15 ans. La mort de son beau-père, Louis de Male, le rend maître des territoires apportés en dot par sa femme et fait de lui le plus puissant des « sires de fleurs de lys ». Tenant sous son autorité la Flandre, l'Artois et leurs appartenances, il rassemble sous son contrôle le duché de Bourgogne et le comté de Bourgogne lesquels vont, pendant une période d'un siècle, suivre à nouveau une destinée commune.
jeudi 26 novembre 2009
- no life, 3
- no life, 3
- No life, 2
- La vie du no life
- Arrêté pour port de patator !
- 17 000 vues pour unechanson d’un ex salarié de Mitall sur You Tube !
- Le piston pour trouver un emploi
- Gérer son image sur Twitter
- RWW : le hacking c’est hype !!!
- La Chine et désinformation.
- Le Dakar annulé
- Facebook et mythomanie
- Simone de Beauvoir nue
- Démocratie vs Terreur
- Arche de Zoé et Biotech
mardi 24 novembre 2009
lundi 16 novembre 2009
samedi 14 novembre 2009
Après les fracassantes rodomontades de Pasqua, on attendait quelque chose d'un peu spectaculaire. La bousculade fut grande à la conférence de presse. Mais moindre cependant que la déception : on savait déjà tout ce que Pasqua a affirmé.
C'est tout.
Mais pas question de s'expliquer sur les autres affaires dans lesquelles il est impliqué.
Inscription à :
Articles (Atom)